Sur un train de matin à matin... Des fois tu souris à l’aube, des fois tu te mords la langue.
Imagine un peu... habiter dans la nature. Tu te réveilles dans une petite cabane de branches. Regarde, des traits de lumière qui percent ton abri. Tu respires, longuement, profondément et tranquillement tu sens la fraîcheur des feuilles qui transforment le soleil en velours. Tu rayonnes aussi; t'as hâte de vivre.
La vie, ça se passe dehors chérie. La cabane, c’est ta cachette. Alors, de la semi-noirceur d’un abri de branches, t'émerges dans la demi-lumière de la forêt : Un corps athlétique! Car la survie c'est du sport. Tu pars. Tu te perds. Mais tu reviens.
Lorsque tu reviens, le soleil retourne à la terre. Tu reconnais les arbres, les pierres et même la mousse verte qui ressemble à un continent. Et même si tes yeux se sont habitués aux ombres, tu cherches la chaleur d'un feu. Des moments magiques, les flammes t’illuminent et te racontent la beauté du soleil et les secrets des racines. Tu retrouves le calme sous les étoiles et longuement, profondément et tranquillement tu hantes les branches.
La vie, ça se passe dehors chérie. La cabane, c’est ta cachette. Alors, de la semi-noirceur d’un abri de branches, t'émerges dans la demi-lumière de la forêt : Un corps athlétique! Car la survie c'est du sport. Tu pars. Tu te perds. Mais tu reviens.
Lorsque tu reviens, le soleil retourne à la terre. Tu reconnais les arbres, les pierres et même la mousse verte qui ressemble à un continent. Et même si tes yeux se sont habitués aux ombres, tu cherches la chaleur d'un feu. Des moments magiques, les flammes t’illuminent et te racontent la beauté du soleil et les secrets des racines. Tu retrouves le calme sous les étoiles et longuement, profondément et tranquillement tu hantes les branches.
Sans parallèles.
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